L'église Saint-Quentin est une église située à Berzy-le-Sec

 

 

église Saint-Quentin fut édifiée au XIIe siècle

L'église Saint-Quentin fut édifiée au XIIe siècle. Classée monument historique en 1884, elle faillit être totalement rasée pendant la première guerre mondiale. Elle a été reconstruite à l'identique et a conservée ,en partie, ses peintures murales de l'époque romane, représentant des scènes de l'ancien testament. 

 

Historique
source : source sur place, documentation diverses, M. Jules Leclercq de Laprairie.

 

Notice sur l'église et le Château de Berzy, canton de Soissons / par M. Jules Leclercq de Laprairie.

 

note : Texte écrit  en 1850 donc avant la première guerre mondiale, certaines parties donc peuvent manquer à l'appel même si l'église fut reconstruite dans son intégralité.

 

 eglise berzy le sec

Après la guerre de 14-18, photo en avril 1919

 

Extérieur.

L'orientation de l'église de Berzy, ce qui est rare, est à peu près parfaite.

On a souvent discuté de la question de l'orientation des églises ; mais pour la résoudre d'une manière satisfaisante, il aurait mieux valu moins disserter et plus vérifier; c'est ce que j'ai fait, et pour moi, il résulte de mes observations, sur un assez grand nombre d'églises :

1° que la direction vers l'orient est rarement parfaite; 

2° que l'on s'en est beaucoup écarté, lorsque la disposition du terrain présentait des difficultés (1). La conséquence que je tire de ce fait bien constaté, c'est que l'orientation des églises pendant les 11e, 12e 13e, 14e et 15° siècles était un principe, il est vrai, mais un principe élastique. (.1) La cathédrale de Soissons dévie un peu vers le nord. L'ancienne abbatiale de Morienval est tournée vers le nord-est. L’Église de Laffaux (12e siècle), celle de Vassemy, et beaucoup d'autres, ne sont pas exactement orientées.

A son extérieur, l'église de Berzy est entièrement romane, non pas dans le genre lourd, écrasé et massif de la période des Xe et XIe siècles, mais dans le style élégant et fleuri du milieu et de la fin du XIIe'. D'ailleurs, l'ogive qui vient se montrer à l'arc triomphal du chœur accuse évidemment cette dernière date.

Une seule porte à plein-cintre s'ouvre dans le pignon de l'ouest pour donner entrée dans l'église. La baie, loin d'en être surbaissée comme il arrive fréquemment lorsqu'il s'agit de ce genre d'édifice, s'élève dans de belles proportions. Son cintre, orné d'archivoltes , rppose sur trois colonnettes annelées ; le tout est couronné d'un cordon de rinceaux très-bien exécutés. Dans le gable, l'architecte a placé une simple fenêtre romane, ornée de quatre colonnettes annelées. Encore au-dessus de cette fenêtre, il existe une autre baie qui semble avoir servi de porte à un pont qui serait venu y aboutir, et qu'on y aurait jeté autrefois d'une galerie placée au haut de l'angle du mur sud-est du Château (1). (1) La distance, entre l'église et ce mur, est de huit mètres

Les murs de la nef et des bas côtés n'offrent rien de remarquable. Les corniches qui supportent le toit ne présentent aucune ornementation; il y a tout lieu de croire qu'elles ont été refaites à une époque assez récente.

Une tour carrée s'élève sur le transept, ou plutôt sur la place où devraient s'allonger les bras de la croix; elle n'a pas une hauteur considérable, mais elle est d'une belle construction. On peut supposer, avec assez de vraisemblance, qu'elle a été pendant longtemps surmontée d'une flèche en pierre. Chacune de ses quatre faces porte deux fenêtres avec moulures et colonnettes.

Les contreforts sont également ornés de colonnettes qui règnent avec celles des fenêtres.

L'église se termine par une petite Abside en cul de four dont la double corniche est formée d'un cordon de feuilles entablées, et d'une rangée de têtes saillantes d'hommes et d'animaux ; enfin un fronton triangulaire faisant saillie donne une espèce de prolongement à l'Abside. La fenêtre de ce fronton, ainsi que les deux autres de l'abside, ont leurs baies ornées d'abord de deux tores, puis d'un cordon ou guirlande de quatre feuilles, et enfin d'un environ troisième tore, plus gros que les deux premiers (1). Pour Compléter l'ornementation de cette partie de l'église., une corniche de rinceaux et de petites têtes saillantes. bien fouillés et très-finement travaillés règne au-dessus des larmiers des contre-forts, et suit le contour des fenêtres ; enfin les angles du fronton ont reçu deux colonnettes dont le chapiteau est formé d'une têté dont la bouche énorme porte d'un côté un petit animal ras, lièvre ou lapin, et de l'autre deux serpents.

Quand après avoir gravi la montée longue et fatigante qui conduit au filage de Berzy, on arrive au pied de la tour et de l'abside de son église, on s'arrête avec un véritable plaisir pour admirer ces pierres si bien apparPillées, ces moulures si bien profilées, ces sculptures si délicatement sculptées ; en un mot, tout cet ensemble si pur d'un des plus charmants monuments de l'architecture romane.

église Saint-Quentin fut édifiée au XIIe siècle avant la 1ère guerre mondiale

 

Photo avant la guerre de 14-18

 

 

Intérieur

La nef ne se compose que de trois travées dont les arcs en plein-cintre reposent sur des piliers larges et peu épais, cantonnés de colonnes demi-engagées qui ont été placées dans l'intérieur de l'arcade, et non du côté de la nef et des collatéraux. Cette disposition, souvent adoptée à cette époque, avait sans doute pour but de laisser libre toute la partie de l'édifice destinée aux fidèles, en évitant d'en diminuer la largueur. La disposition contraire, c'est-à-dire lorsqu'on faisait saillir la colonne sur la nef et les bas-côtés, avait le grand avantage de fortifier le point destiné à recevoir la retombée des voûtes; mais, ici, elle n'avait pas d'objet, la nef de Berzy n'ayant jamais été destinée à recevoir des voûtes ,en pierres.

(1) Le tout sans chapiteau.

Des quatorze chapiteaux de la nef, quatre ont (lé hachés pour faire place à des boiseries ; les autres sont simplement ornés de feuilles aquatiques d'un bon goût.

J'ai dit, plus haut, que l'église de Berzy n'avait pas de transept ; le chœur se trouve donc placé immédiatement où finit la nef et sous la tour. Il est voûté à arceaux formés de gros tores qui viennent s'appuyer sur une colonne engagée, accompagnée du côté du sanctuaire , de trois colonnettes, et, du côté de la nef, d'une seule colonnette. Pour les arcs de cette voûte, l'ogive qui, sans doute ne faisait encore qu'apparaître, a été adoptée par l'architecte; il a fait ce que l'on remarque dans la plupart des églises de transition: le plein-cintre est conservé pour les petites ouvertures; l'ogive est employée là où un écartement considérable offre le danger d'une plus forte poussée (1).

La passion pour un jour abondant et éclatant, qui a causé la ruine de nos grandes verrières pendant les deux derniers siècles, est passée aussi par Berzy. Pour arriver à ce résultat si envié, on n'a pas craint, en agrandissant les deux fenêtres du rez-de-chaussée de la tour, de couper impitoyablement les archivoltes et corniches qui les accompagnaient à l'extérieur, et les chapiteaux curieux dont elles devaient être ornées à l'intérieur.

L'abside, très-petit hémicycle, percé de trois fenêtres romanes, porte une voûte dont les arêtes sont composées de trois tores cylindriques. Un autel et un pavé en marbre lui donnent une physionomie moderne, et un grand retable de style grec ou romain achève de lui ôter son

(1 ).cette observation, que j'ai eu l'occasion de répéter souvent, rfa convaincu qu'à son origine, ce n'était pas par caprice et pour le plaisir de faire du nouveau, que l'ogive avait été employée ; mais A cause des avantages qu'elle présentait dans la construction des grandes voûtes à caractère primitif. Un autre inconvénient de cette lourde machille, c'est de masquer, non-seulement la fenêtre du fond du sanctuaire, mais encore tout le renfoncement que présente, à l'intérieur de l'église, le fronton, espèce d'appendice de l'abside dont j'ai déjà parlé. Il est facile de se rendre compte du mauvais effet qu'il produit, si l'on remarque que le peu de longueur du chœur et de l'abside de Berzy était heureusement corrigé, lorsque la vue pouvait se prolonger jusqu'à la fenêtre centrale et se reposer sur les vitraux peints dont elle était sans doute ornée.

Après avoir signalé l'existence du renfoncement pratiqué au chevet de l'église de Berzy, il n'est peut-être pas sans intérêt de rechercher quelle en était la destination. Dans un grand nombre d'églises des départements de la Somme et de l'Oise (1), on voit encore aujourd'hui un Saint-Sépulcre placé au fond du sanctuaire ; l'ornementation même des colonnes et des arceaux de la voûta est appropriée à ce sujet. On y a représenté tas insignes de la Passion, les saintes femmes et d'autres motifs analogues ; mais toutes ces églises appartiennent aux 15e et 16e siècles, et si l'on peut supposer que l'on n'a fait que reproduire alors ce qui se pratiquait dans les siècles antérieurs, on ne peut l'affirmer d'une manière positive. D'un autre côté, il est bien établi maintenant que dans certaines églises du 13e siècle, la travée centrale de l'abside était occupée par un autel sur lequel étaient déposées les châsses contenant les reliques des saints. Je pense que l'enfoncement de Berzy a eu l'une ou l'autre de ces destinations ; mais, à défaut d'indications parti entières, je ne crois pas devoir me prononcer pour lui plutôt que pour l'autre (1).

L'église de Berzy a été construite dans de petites dimensions ; la nef a 46 mètres 25 centimètres, le chœur 5 mètres, l'abside 5 mètres 90 centimètres, ce qui donne" une longueur totale de 25 mètres 15 centimètres ; la largeur est de 6 mètres 25 centimètres ; les bas-côtés ont 5 mètres 40 centimètres.

Chapiteaux du chœur et de l'abside.

Gros pilier de gauche (nord) supportant la tour. A la" colonnette qui regarde la nef, feuilles et branches entrelacées. A la colonne engagée, trois personnages debout couronnés, vêtus de longues robes, et ayant à leurs pieds deux édicules, s'avancent vers trois autres personnages dont un paraît être assis ou à genoux, et tenir un enfant dans les bras. A la suite de ces derniers, deux personnages debout, les yeux levés au ciel semblent contempler un ange sortant d'un nuage ; près d'eux, le sculpteur peu habile, a figé de petits objets dans lesquels on croit reconnaître des chiens ou des moutons (2). Les trois colonnettes qui viennent ensuite sont garnies, comme la précédente, de feuilles et de branches entrelacées.

(1) On pourrait encore supposer, avec beaucoup moins de vraisemblance, il est vrai, que le constructeur de l'église, s'il était l'un des seigneurs de Berzy, s'était [fait préparer cet endroit de l'abside pour y placer son propre tombeau.

(2) Malgré ma résolution de ne pas m'engager dans l'interprétation des divers sujets représentés sur les chapiteaux de Berzy, je ne puis laisser passer celui-ci sans remarquer qu'il semble offrir une double scène, l'adoration des Mages, et l'annonce de la bonne nouvelle aux Bergers.

Deuxième pilier (nord). Au faisceau de colonnettes dont il est composé, feuilles diverses mal caractérisées ou l'on distingue cependant l'acanthe du 12e siècle ; le règne

animal n'y est représenté que par un seul grand oiseau placé au centre d'un des chapiteaux.

A t'une des deux colonnettes de la fenêtre qui vient ensuite, deux animaux fantastiques.

Les deux longues colonnettes qui, de chaque côté der l'abside reçoivent la retombée de la voûte, ont été arrachées pour faire place au retabie.

Au fond du sanctuaire, quatre colonnettes portent des chapiteaux curieux. A la première, une tète humaine: accompagnée, de chaque côté, d'un grand oiseau dressé sur ses pattes et lui posant le bec sur le crâne. A la seconde, deux sortes de dragons à face d'hommes dont les joues viennent s'appuyer l'une contre l'autre sousl'angle du tailloir. A la troisième, grosse face avec un ciorps raccourci, portant à la fois deux bras et deux grandes ailes qui remplissent les angles du chapiteau.

A la quatrième , deux serpents dont les queues dressées vont se perdre dans une grosse tête qui vomit, par une bouche énorme, un long corps de crapaud.

La fenêtre de droite (midi) de l'abside est accompagnée, comme celle qui lui est symétrique, de deux colonnettes. A l'une d'elles , on voit, dans les angles des chapiteaux, deux personnages debout et les bras en- a'Vant, passés dans le feuillage qui en forme le milieu.

Le faisceau de colonnettes qui vient après ne nous présente que des feuilles de différentes espèces, et un seul chapiteau , meublé de deux griffons, placés dos à dos avec les ailes relevées et se touchant à leurs extrémités.

Nous arrivons au grand pilier du midi. Première colonnette, répétition de ce feuillage déjà reproduit plu- sieurs fois. Deuxième colonnette, deux personnages debout , couverts de manteaux, portent sur leurs épaules- un instrument dont la nature n'est pas parfaitement déterminée. J'ai cru reconnaître dans l'un une bêche.

dans l'autre une faulx. Troisième colonne:  deux oiseaux adossés retournent le cou pour se becqueter, au-dessus d'un vase rempli de fleurs. Grosse colonne engagée, quatre petites arcades légères, qui rappellent celles que l'on voit sur les tombeaux chrétiens des premiers siècles, et sur les châsses desi Ie et t 28 siècles, forment l'ornementation du chapiteau de cette colonne. Sous la première , on distingue deux personnages l'un debout , et l'autre assis, tenant un livre à la main. Sous la deuxième, un personnage debout avec un livre à la main. Sous la troisième, un personnage bénissant d'une main, et tenant une croix de l'autre. Sous le quatrième, deux personnages, peut-être des femmes, paraissent s'embrasser.

La sculpture intérieure du chœur et de l'abside de l'église de Berzy est loin d'avoir la finesse et la pureté de goût de celle que l'on admire à l'extérieur. Un de ses défauts le plus frappant, c'est la grosseur tout-à-fait démesurée des têtes.

Il resterait maintenant à examiner si l'on ne doit voir dans les sujets que-je viens de retracer, que le caprice et l'imagination de l'artiste, ou bien , au contraire, si l'on doit y chercher le sens symbolique qui s'y trouve nécessairement ; mais celle question m'a paru offrir trop de difficultés pour essayer de la résoudre. Quand on aura décrit et reproduit, par des dessins parfaitement exacts, tous les sujets sculptés dans nos églises, quand, alors, on pourra les rapprocher les uns des autres, les comparer entre eux et les compléter quelquefois l'un par l'autre , ce sera le moment des recherches qui pourront conduire à la véritable interprétation des sujets représentés. Vouloir retrouver trop tôt le sens depuis longtemps perdu de l'art des 12e et 13esiècles, ne serait-ce pas risquer de jeter du ridicule sur les études archéologiques ?

J'ai supposé, plus haut, que l'église de Berzy avait été construite dans le cours du 12e siècle, mais je n'ai aucun titre à produire à l'appui de mon opinion ; c'est par la comparaison de cet édifice avec d’autres églises de notre pays, antérieures et postérieures, qu'il m'a paru possible d'arriver à une date approximative assez exacte.

Pour partir d'une base incontestable, je m'arrête au chœur de la cathédrale de Soissons qui fut inauguré en 1212 (I). Son style est celui, nui un peu plus sévère, de Reims et d'Amiens; aussi sa construction dut-elle précéder d'une trentaine d'années au moins ces deux cathédrales, et si elle ne peut leur être comparée pour la grandeur des dimensions et la beauté de l'ornementation, elle a peut-être le mérite de leur avoir servi de modèle (2). Après le chœur de la cnthédrale de Soissons, et en remontant le cours des âges, on rencontre le transept , du midi du même édifice dont le style est tout différent. 

(1) Une pierre qu'on voit encore dans la cathédrale de Soissons, et qui est considérée comme authentique par tous les archéologues porte, en caractères du 13e siècle, l'inscription suivante :

Anno milleno bis cenleno duodeno Hune intrare chorum cepit grex canonicorum.

(2) La cathédrale de Soissons n'a pas, pour seul mérite, une antériorité de date sur les grandes cathédrales du moyen-âge, elle a encore celui d'une harmonie si heureuse dans ses proportions qu'elle réalise, à la lettre, ces paroles de l'Ecriture : « Ma maison est une maison de prières. » On n'y sent pas cette majesté et cette immensité qui faisaient dire à l'empereur Napoléon, entrant dans la cathédrale d'Amiens : « L'impie ne doit pas se trouver bien ici. »

La forme en est ronde comme à Noyon, comme à Tournay ; le plein ceintre règne encore aux fenêtres basses, et le mur extérieur se termine par une élégante corniche.

Mais tout y invite à élever ses pensées vers un Dieu bon et miséricordieux. Le constructeur, inconnu de Soissons, était donc im grand architecte, car dans les arts comme en toutes choses Ille tulit punclum, celui-là a remporté le prix qui sçut approprier son œuvre à son objet.

A l'intérieur, une première galerie est surmontée d'une autre petite galerie qui se relie avec celle de la nef et du chœur. Quelques mots de l'obituaire de Saint-Gervais font supposer que ce transept a été construit sous l'épiscopat de Nicolas de Cherizy entre 1175 et 1207. Ce renseignement, qui n'est pas en contradiction avec les idées admises jusqu'ici, laisse un espace bien court pour l'érection de deux parties si différentes de la cathédrale de Soissons. Peut-être faudrait-il reculer, jusqu'en 1160, l'époque de la construction du transept du midi, pour expliquer plus naturellement l'adoption d'un autre genre d'architecture.

L'historien de l'Abbaye Notre-Dame de Soissons fixe l'année 1140 pour la date de l'église de cette célèbre Abbaye; les deux fenêtres qui, seules subsistent encore, appartiennent au roman fleuri. Tout porte à croire que les grandes arcades intérieures étaient ogivales.

Enfin toujours sans quitter la ville de Soissons, on trouve l'église de Saint - Pierre - au-Parvis construite en 1133 ; dans cette pglbe, dont le roman paraît un peu pins primitif que celui de l'abbaye Notre-Dame, et qui n'a jamais reçu de voûtes en pierres, on a cependant adopté l'ogive pour les grandes ouvertures.

Si, maintenant, en retournant à l'église de Berzy, on s'arrête à l'élégance du plein-cintre de la nef, à l'ogive de l'arc triomphal et à la perfection de ses sculptures extérieures, on ne peut lui assigner d'autre date que l'espace compris entre1140 et 1160 ; c'est-à-dire qu'elle serait postérieure à Saint-Pierre-au-Parvis, et antérieure au transept sud de la cathédrale de Soissons.

 

Après la guerre de 14-18

 

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