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Détails
Catégorie : Maine-et-Loire - 49
22 Septembre 2022
Mis à jour : 7 Novembre 2025
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Château de Beaufort-en-Vallée

Le Château de Beaufort-en-Vallée, situé dans le Maine-et-Loire, a une histoire riche remontant au Xe siècle. D'abord construit par les comtes d'Anjou, il a été partiellement détruit au XIIIe siècle avant d'être reconstruit au XIVe siècle. L'édifice actuel, dominant une motte castrale, date principalement des XIVe et XVe siècles. C'est autour de cette imposante forteresse que la cité de Beaufort-en-Vallée s'est développée.

Démoli une première fois en 1214, le château fut rebâti en 1346 par Guillaume Roger, frère du pape Clément VI. C'est ce château, partiellement conservé, que nous admirons aujourd'hui. De nouvelles modifications ont été apportées au milieu du XVe siècle. C'est également de ce lieu que le duc de Clarence, frère du roi d'Angleterre, partit pour la bataille de Baugé, où il trouva la mort.

Après la guerre de Cent Ans, le château médiéval perdit son rôle défensif mais fut réaménagé pour devenir plus confortable. René, duc d'Anjou, y apporta d'importantes modifications. Au XVIIe siècle, le château servait encore de garnison avant d'être démantelé et utilisé comme carrière de pierre. Il fut vendu comme Bien National pendant la Révolution, puis racheté par la commune.

Aujourd'hui, cette majestueuse ruine continue de fasciner les historiens et spécialistes, notamment Jean Mesqui, qui ont consacré des études approfondies à ce monument emblématique du patrimoine angevin.

chateau de beaufort en vallee en anjou

 

Voir aussi

 Château de Baugé - Bataille de Baugé - Manoir de Launay

 
Informations
  • Adresse :  Le Château, 49250 Beaufort-en-Anjou
  • Google Maps : Carte
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  • Heures d'Ouvertures, Tarifs & Visites en 2022  ( à titre indicatif, information valable lors de la mise en ligne de l'article, ne pas hésiter à vérifier sur le site officiel ou les contacter quand l'information est disponible, avant tout déplacement )  :

    Visible gratuitement de l'extérieur, accessible également à l'intérieur de la haute cour. Les tours et autres accès sont cependant fermés.

 

Première construction

Construit au XIe siècle, par Foulques Nerra, comte d'Anjou, sur un oppidum gallo-romain. Détruit en 1212, par Louis VIII, fils de Philippe-Auguste; et aussitôt rebâti, il fut reconstruit (1346-1356) par le premier comte de Beaufort, Guillaume Roger, frère du pape Clément VI, père du pape Grégoire XI (maîtres d'œuvres : Guill. Laureau, en 1348, puis Thibault de Villiers). — Le « beau fort »—bellum forte — se composait de quatre tours carrées (h. environ 46 mètres) ; celle de gauche est détruite ; celle de droite fut reconstruite octogone par René d'Anjou et Jeanne de Laval, vers 1455. —

Seigneurs, Comte et Roi à Beaufort en Vallée

938-958, Foulques le Bon, comte d'Anjou et seigneur de Beaufort

960-986, Geoffroy Ier Grisgenoelle, comte d'Anjou et seigneur de Beaufort. Il est le fils de Foulques le Bon, comte d'Anjou et seigneur de Beaufort.

970-1040, Foulques III Nerra, comte d'Anjou et seigneur de Beaufort

Puis Geoffroy II Martel, puis Foulques IV le Réchin, né en 1043 et mort en 1109.

Henri II de Plantagenêt, comte d'Anjou et seigneur de Beaufort, qui deviendra Roi d'Angleterre.

Tombeau à l'Abbaye Notre-Dame de Fontevraud , Henri II et Aliénor d'Aquitaine

 

Jean Sans Terre assigne la terre de Beaufort en douaire à Isabelle d'Angoulême.

1206, mai, Philippe Auguste donne garde et jouissance à Guillaume des Roches, sénéchal d'Anjou, en récompense de la prise de Beaufort en 1203.

1230, Louis IX donne la terre de Beaufort en apanage à son frère, Charles, comte d'Anjou.

Philippe III le Hardi donne 2000 livres de rentes sur Baugé et Beaufort à sa mère Marguerite de Provence.

1342, le futur Jean II le Bon, donne une rente à Guillaume Roger, que son père Philippe VI renouvelle. Guillaume Roger obtient le droit de rebâtir et fortifier Beaufort.

Philippe VI de Valois, seigneur de Beaufort de 1328 à 1344, donne le 22 août 1343, à Guillaume Roger, 1000 livres de rentes sur la châtellenie de Beaufort.

Construction du château actuel

 Construire un château au XIVᵉ siècle : le chantier de Beaufort-en-Vallée (1346-1356)

Vers le milieu du XIVᵉ siècle, Guillaume II Roger, comte de Beaufort, entreprend un projet ambitieux : reconstruire entièrement le château de Beaufort-en-Vallée, destiné à devenir sa principale résidence.
Nous sommes en 1346, au tout début de la guerre de Cent Ans, alors que le royaume s’apprête à affronter les ravages de la peste noire. Malgré ce contexte tragique, le chantier démarre et se poursuit pendant une décennie. 
Entre ces deux tours régnait la « Grande Salle », construite (1348) sur des murs du XIe siècle et sur deux étages d'anciens souterrains voûtés en ogives (l'un passe sous le nouveau collège), dominée par un mur crénelé (hauteur de la plate-forme intérieure : 35 pieds, du fossé extérieur : 170 pieds). — Un puits plus ancien, incomplètement exploré en 1871, existe au centre du monticule fortifié. — Des murs cintrés reliaient les quatre tours. — Les fondations (de 60 pieds) ont été faites en six semaines, par trente-cinq ouvriers, gagnant en moyenne 2 sols par jour (équivalant à environ 2 fr. 50).  Les murs des tours avaient une épaisseur de 9 pieds aux fondations, de 8 jusqu'au deuxième étage, de 7 au-dessus. Ils étaient surmontés de deux étages en bois, couverts d'ardoises et dominés par la bannière armoriée du comte Roger.  Le prieur de Cunaud et l'abbé de Saint-Florent, près Saumur, fournirent à leurs frais 60.000 tuffeaux. Les autres pierres proviennent de Fontaine-Guérin, Brion, Saumur, Langeais, Chaillé et de Beaufort même (d'après les comptes, aux Archives Nationales).

Un château presque oublié

Avant Guillaume Roger, Beaufort n’était plus qu’une ruine.
Le vieux donjon de Foulques Nerra, comte d’Anjou au XIᵉ siècle, se dressait encore, entouré de vestiges des XIIᵉ et XIIIᵉ siècles.
Le site avait été détruit dans les années 1240, puis laissé à l’abandon pendant près d’un siècle.
C’est sur ces bases anciennes que le comte entreprend de rebâtir un château moderne, à la fois forteresse et demeure seigneuriale.

Un document exceptionnel

Il existe aujourd’hui un document rarissime : l’ordonnance rédigée en 1346 précisant toutes les instructions données par Guillaume Roger à ses maîtres-maçons. C’est un témoignage précieux sur la manière concrète dont les chantiers seigneuriaux étaient dirigés au XIVᵉ siècle. Le texte décrit avec une minutie impressionnante la hauteur des murs, leur épaisseur, la forme des fenêtres, des meurtrières, des latrines, et jusqu’à la position des corbeaux, des voûtes et des machicoulis. Il mentionne même des dispositifs de tir pour les espringales et les arbalètes, ainsi que l’organisation des pièces d’habitation et des escaliers. Le coût total estimé des travaux dépasse 52 000 livres — une somme considérable, à l’échelle d’un comté.

Le programme architectural de 1346

L’ordonnance commence par la tour principale, située au-dessus de la porte d’entrée du château.
Cette tour devait comporter plusieurs étages, chacun soigneusement défini :

L’étage supérieur, haut de douze pieds, était soutenu par de solides corbeaux destinés à recevoir les poutres du plancher. De nouvelles fenêtres devaient être percées du côté intérieur, tandis que les anciennes ouvertures du mur opposé seraient muraillées. Au sommet, un grenier défensif était prévu, doté de meurtrières pour les arbalètes et de larges embrasures permettant de tirer à l’espringale. Tout autour, la tour devait être couronnée d’un hourd de bois couvert, posé sur des corbeaux de pierre, permettant de lancer des projectiles sur les assaillants. Les anciens murs d’accès et leurs piliers étaient conservés, mais rehaussés, crénelés et munis de bretèches (ou « bretèches », petites tours de défense en surplomb).

Les murs, les tours et l’enceinte

Le comte ordonne ensuite la reconstruction intégrale du mur d’enceinte, sur les fondations anciennes. Le nouveau mur devait être crénelé, doté de machicoulis en pierre et relié à deux tours nouvelles, déjà commencées.
Ces tours, élevées jusqu’à la hauteur du toit de la grande salle, comportaient chacune quatre niveaux : deux voûtés en pierre et deux planchers en bois, reliés par des escaliers internes.

Chacune possédait :

des latrines en encorbellement, dont les conduits descendaient jusqu’au fond du fossé, ventilés pour évacuer les odeurs ; des embrasures de tir et meurtrières pour la défense rapprochée ; un étage réservé à une chapelle dans la tour orientale, au-dessus de laquelle pouvait être aménagé un cabinet privé (garde-robe). Une poterne secrète était également prévue à la base de la tour occidentale, permettant de sortir discrètement du château sans passer par la grande porte.

La grande salle seigneuriale

Au centre du dispositif se trouvait la grande salle, cœur symbolique et fonctionnel de la résidence.
Elle devait s’étendre entre les deux tours neuves et ouvrir sur la cour.
Ses dimensions impressionnantes — quarante-huit pieds de long sur trente-quatre de large — en faisaient une véritable salle d’apparat.

Les plans prévoyaient :

des voûtes inférieures et supérieures en pierre, soutenues par des fondations épaisses de neuf pieds ;

un escalier intérieur reliant la salle aux caves et celliers, notamment pour le stockage du vin ;

des anneaux et crochets de fer suspendus dans la voûte pour accrocher harnais et équipements ;

des ouvertures étroites servant à la fois d’aération et de lumière pour les niveaux inférieurs.

Les murs de la grande salle, crénelés et machicolés comme ceux de l’enceinte, devaient être surmontés d’un chemin de ronde couvert, avec de grandes gargouilles de pierre évacuant les eaux de pluie.

Les finitions et les toitures

Le puits du château devait être nettoyé, vidé et pourvu d’une margelle neuve.
Les toitures, quant à elles, étaient prévues en ardoise fine, surmontées de poinçons de plomb ouvragés.
Au sommet flotteraient les bannières armoriées du seigneur, visibles depuis toute la vallée.

La grande tour-porte, haute de cinquante pieds de maçonnerie plus huit pieds de charpente, se terminait par un toit débordant d’un pied et demi sur des corbeaux de pierre — permettant, en cas de siège, de jeter des pierres ou de verser des liquides brûlants sur l’ennemi.

Des ouvertures de tir pour espringales et arbalètes étaient aménagées dans la galerie supérieure, véritable bastion de défense surmontant l’entrée du château.

Un château typique du XIVᵉ siècle

L’ensemble du texte montre un château typiquement angevin du XIVᵉ siècle :
une architecture militaire rationnelle, héritière du XIIIᵉ siècle, mais déjà influencée par les préoccupations résidentielles et le confort seigneurial.
Les latrines, la chapelle, les garde-robes, la poterne secrète, les passages intérieurs et la gestion des eaux témoignent d’une organisation pensée jusque dans les moindres détails. Sous la direction de Guillaume II Roger, Beaufort-en-Vallée devint ainsi un modèle de forteresse de transition, à mi-chemin entre le château-fort défensif et la demeure noble du XIVᵉ siècle, symbole du prestige seigneurial dans un temps de guerre et d’épidémie.

 

1344, le 7 juin, Beaufort devient vicomté puis en avril 1347, comté.

1350, Louis de France, premier duc d'Anjou, roi de Naples, remet la main sur Beaufort et chasse les proches de Guillaume Roger, mais en 1371 le 31, les donations royales sont confirmées.


Maréchal de Boucicaut

Jean le Meingre, dit Boucicaut, Maréchal de France, grand connétable de l'empereur et de l'empire de Constantinople, comte de Beaufort, de Clux, d'Alest, vicomte de Turenne. Après la défaite d'Azincourt, dont il commande l'armée royale, il est capturé puis transféré en Angleterre où il meurt. Entre temps son épouse Antoinette de Beaufort, vicomtesse de Turenne, meurt le 14 juillet 1416.

Victoire de Pont-Valain (1370). Il fut réoccupé par les Anglais en 1421, à la veille de la bataille de Baugé (le Vieil). 

Le roi René d'Anjou s'y plaisait beaucoup ; il y avait une ménagerie, des plantes rares, une bibliothèque, où se trouva entre autres le manuscrit de la Chronique de Joinville ( 1). Il donna Beaufort en douaire à Jeanne de Laval, qui y réside, pendant son veuvage, jusqu'à sa mort (1480-1498).

Calvinistes et royalistes se le disputèrent tour à tour en 1568 76, 85, 89, 91 et en 1622.

En 1635, le roi autorisa à en prendre les matériaux pour le couvent des Recollets. De même, en 1725, pour la réparation du collège, et, en 1769, pour la reconstruction de l'hospice des Incurables. A la demande des Angevins, le rasement du château de Beaufort avait été ordonné, mais non effectué complètement, en 1645. —

Vendues comme Bien National, en 1796, les ruines furent rachetées par la Commune en 1832.

 

 

L’Entrée. 

Entre les deux tours (XIVe siècle) s’abattait le pont-levis (existant encore en 1635), surmonté d’une tourelle en saillie, (reconstruite en 1346 sur un noyau du XIe siècle) laquelle avait 18 pieds carrés dans œuvre ; elle s’élevait de deux étages de pierres (12 pieds et 10 pieds de haut), un étage en bois (7 pieds), recouverts d’ardoises , le tout élevé de 15 pieds au-dessus des quatre grandes tours. Au deuxième étage étaient braqués les pierriers, les canons de défense et les « archières ».

 9 — Tour construite en 1346-47.

Elle s’élevait à 46 m. au-dessus des douves (deux étages, de pierres, deux de bois, couverture d’ardoises). Du rez-de-chaussée, on pénétrait, par un trou, dans la prison souterraine, encore existante. La porte (à gauche, condamnée) ouvrait sur l’escalier qui descendait au sous-sol, près du pont-levis. Au deuxième étage se trouvait la chapelle. Au troisième, des chambres et garde-robes. 

10 — Tour construite en 1348.

Elle s’élevait à la même h. du fond des douves (deux étages de pierres, deux de bois, couverture d’ardoises). — Plus au nord s’élevait une tour semblable, dont l’étage inférieur communiquait avec les caves de la Grande Salle, au nord, et avec les douves. — Au fond, une ouverture basse, avec voûte de protection et double porte, permettait de sortir du fort sans passer devant le pont-levis, en cas de besoin. — Au-dessus, la bouteillerie, garde-robes, etc. 

11 --Tour octogogne. (xve s.)

tour octogonale XVe

Reconstruite vers 1455, par René d’Anjou. — Les vassaux y ren­daient foi et hommage. — Les receveurs du Comté y recueillaient les grains et récoltes. — Pendant une partie du XIXe siècle, elle servit de prison. Sous la Révolution, sept ou huit Vendéens amenés de Fontaine-Guérin y furent pris et tués par les hussards de pas­sage (mai 1793). — Vers sud, une haute muraille, en hémicycle, la reliait à la tour carrée du XIVe siècle. Vers l’ouest, elle commu­niquait avec la Grande Salle.

 

16 — Logis (xvie-xvne siècles) de la motte du château. 

Derrière l’ancien collège, mis à découvert, en 1899, lors de la construction de la nouvelle Caisse d’Epargne et du Musée (1900- 1904).

Les fossés (7 et 8 mètres de profondeur) de l’enceinte du château ont été retrouvés, en creusant les fondations du monument, sur la ligne indiquée par les décombres.

 

  

source du texte : Denais, historien local. Gallica.Bnf.fr,  MedievalAdvisor

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