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Léonard de Vinci, Peintures et Oeuvres

Détails
Catégorie : XVIe
Création : 10 Mars 2023
Mis à jour : 10 Mars 2023
Clics : 16825

Léonard de Vinci, Les Oeuvres Majeures

 

 

La Cène

la Cene leonard de Vinci

La Cène est une fresque monumentale réalisée par Léonard de Vinci à la fin du XVe siècle, dans la salle du réfectoire du couvent Santa Maria delle Grazie à Milan. Cette fresque représente le dernier repas du Christ avec ses disciples, juste avant sa crucifixion. La composition de l'œuvre est remarquable, avec les personnages disposés en groupes de trois autour de la table, le Christ au centre. La technique de peinture utilisée par Léonard de Vinci, le sfumato, crée des effets de lumière et d'ombre subtils qui donnent une impression de profondeur et de réalisme à l'œuvre.

La Joconde

joconde musee du louvre photo cadre

La Joconde, ou Mona Lisa, est probablement l'œuvre la plus célèbre de Léonard de Vinci. Cette peinture à l'huile, réalisée au début du XVIe siècle, représente le portrait d'une jeune femme avec un sourire énigmatique. La composition de l'œuvre est très soignée, avec la figure placée au premier plan, devant un paysage flou. La technique de peinture utilisée par Léonard de Vinci pour créer les nuances subtiles de la peau, les cheveux et les vêtements, ainsi que les effets de lumière et de transparence, est remarquable. La Joconde est aujourd'hui exposée au Musée du Louvre à Paris.

La Vierge aux rochers

 

Leonardo Da Vinci Vierge a enfant

La Vierge aux rochers est une série de deux tableaux réalisés par Léonard de Vinci, l'un conservé au Louvre et l'autre à la National Gallery de Londres. Ces deux tableaux représentent la Vierge Marie avec l'enfant Jésus et saint Jean-Baptiste dans un paysage rocheux. La composition de l'œuvre est très élaborée, avec les personnages disposés en un groupe compact, sous une voûte rocheuse. La technique de peinture utilisée par Léonard de Vinci est caractérisée par des effets de lumière et d'ombre subtils, qui créent une impression de profondeur et de relief.

La Vierge aux rochers, également connue sous le nom de Vergine delle rocce en italien, désigne deux versions d'une œuvre peinte par Léonard de Vinci. Ce tableau était destiné à être le centre d'un retable de l'Immaculée Conception qui a été commandé par la confrérie laïque milanaise de l'Immaculée Conception. La première version, qui a été créée entre 1483 et 1486 et qui est actuellement conservée au musée du Louvre à Paris, a été refusée par le commanditaire. La seconde version, qui a été peinte en deux temps entre 1491 et 1499 puis entre 1506 et 1508, a été exposée dans le retable avant d'être transférée à la National Gallery de Londres à la fin du XIXe siècle.

Les deux versions sont similaires dans leur conception générale, mais diffèrent par certains détails de composition et par leur technique d'exécution. L'œuvre représente la rencontre entre Marie, l'enfant Jésus et saint Jean le Baptiste dans le havre d'une caverne lors de l'épisode de la fuite en Égypte de la Sainte Famille, au moment du massacre des Innocents. Un personnage d'ange, probablement Uriel, est également présent, et il est traditionnellement associé à Jean. La Vierge aux rochers célèbre les mystères de l'Immaculée Conception et de l'Incarnation, et elle est caractérisée par son contenu symbolique complexe.

Le commanditaire de l'œuvre était la confrérie laïque milanaise de l'Immaculée Conception, qui procédait de l'ordre des franciscains. Le tableau a été commandé pour occuper le centre d'un retable qui devait décorer une chapelle récemment construite à l'intérieur de l'église Saint-François-Majeur de Milan. Le cheminement historique des deux tableaux n'est pas connu de manière précise, mais selon les hypothèses les plus courantes, la première version aurait été vendue par Léonard de Vinci à Ludovic le More pour finalement aboutir dans les collections du roi de France. Quant à la seconde version, elle aurait été exposée à Saint-François-Majeur jusqu'à la fin du XVIIIe siècle avant d'être achetée par un collectionneur anglais et de rejoindre la National Gallery.

La Vierge, l'enfant Jésus et sainte Anne

La Vierge, l'enfant Jésus et sainte Anne est une grande peinture à l'huile réalisée par Léonard de Vinci à la fin du XVe siècle. Cette œuvre représente la Vierge Marie assise sur les genoux de sa mère, sainte Anne, tenant l'enfant Jésus sur ses genoux. La composition de l'œuvre est très soignée, avec les personnages disposés en un groupe compact, sous un arbre. La technique de peinture utilisée par Léonard de Vinci, avec des effets de lumière subtils et une grande attention aux détails, crée une impression de réalisme et de profondeur.

La Belle Ferronnière

La Belle Ferroniere Google Arts

Detail, source Google Arts et Wikipedia

La Belle Ferronnière est un portrait d'une femme inconnue, peint par Léonard de Vinci entre 1490 et 1496. L'œuvre mesure 62 x 44 cm et est une peinture à l'huile sur bois. Le nom "Ferronnière" vient du bandeau que la femme porte sur le front. Le sourire subtil et le regard énigmatique de la femme sont typiques du style de Léonard de Vinci. Le tableau est conservé au Louvre à Paris.Cette peinture à l'huile représente une femme élégante, portant une coiffe à deux cornes, qui a été identifiée comme étant la maîtresse de Ludovic Sforza, duc de Milan. La composition de l'œuvre est très soignée, avec la figure placée au premier plan, devant un paysage flou. La technique de peinture utilisée par Léonard de Vinci pour créer les nuances subtiles de la peau, les cheveux et les vêtements, ainsi que les effets de lumière et de transparence, est remarquable. La Belle Ferronnière est aujourd'hui exposée au Musée du Louvre à Paris. 

La Dame à l'hermine

 la femme a hermine leonardo da Vinci Google Art Project

source Google Arts et Wikipedia

La Dame à l'hermine est un portrait de Cécile de Bologne, la maîtresse de Ludovic Sforza, duc de Milan, réalisé par Léonard de Vinci au début du XVIe siècle. Cette peinture à l'huile représente une jeune femme tenant une hermine blanche, symbole de pureté et de vertu. La composition de l'œuvre est très soignée, avec la figure placée au premier plan, devant un paysage flou. La technique de peinture utilisée par Léonard de Vinci pour créer les nuances subtiles de la peau, les cheveux et les vêtements, ainsi que les effets de lumière et de transparence, est remarquable. La Dame à l'hermine est aujourd'hui exposée au musée national de Cracovie en Pologne.

La Madonna Litta

La Madonna Litta est une peinture à l'huile réalisée par Léonard de Vinci au début du XVIe siècle. Cette œuvre représente la Vierge Marie avec l'enfant Jésus, assis sur ses genoux. La composition de l'œuvre est très soignée, avec les personnages disposés en un groupe compact, sous une voûte rocheuse. La technique de peinture utilisée par Léonard de Vinci, avec des effets de lumière subtils et une grande attention aux détails, crée une impression de réalisme et de profondeur. La Madonna Litta est aujourd'hui exposée à l'Ermitage de Saint-Pétersbourg en Russie.

La Madonna Benois

La Madonna Benois est une peinture à l'huile réalisée par Léonard de Vinci vers 1478-1480. Cette œuvre représente la Vierge Marie avec l'enfant Jésus, assis sur ses genoux. La composition de l'œuvre est très soignée, avec les personnages disposés en un groupe compact, sous un paysage flou. La technique de peinture utilisée par Léonard de Vinci, avec des effets de lumière subtils et une grande attention aux détails, crée une impression de réalisme et de profondeur. La Madonna Benois est aujourd'hui exposée au musée de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg en Russie.

L'Annonciation

La Annonciation est une peinture à l'huile réalisée par Léonard de Vinci vers 1472-1475. 

La Madone à la grenade

La Madone à la grenade est une peinture à l'huile sur bois qui mesure 46 x 62 cm. C'est l'une des peintures de la Madone de Léonard de Vinci, représentant la Vierge Marie tenant Jésus enfant sur ses genoux. Cette œuvre a été réalisée entre 1485 et 1487 et est conservée au Palais Pitti à Florence, en Italie. La grenade que Marie tient symbolise à la fois la résurrection et le paradis. La lumière douce qui illumine le visage de la Vierge et de Jésus témoigne de l'habileté de Léonard à utiliser la lumière et l'ombre pour créer un effet dramatique.

Le Baptême du Christ

Le Baptême du Christ est une peinture à l'huile sur bois de 177 x 151 cm. Cette œuvre a été réalisée en collaboration avec Andrea del Verrocchio, qui a commencé la peinture mais a confié à Léonard de Vinci la réalisation de l'ange. La peinture représente le baptême de Jésus par Jean-Baptiste dans le Jourdain. Le ciel sombre et les drapés des vêtements créent une atmosphère dramatique, tandis que les personnages semblent flotter dans l'eau. Cette œuvre est conservée à la Galerie des Offices de Florence.La Belle Ferronnière

 

Voir aussi

 Léonard de Vinci

Historique & Histoire 
source : source sur place, documentation diverses, Le Louvre, 

 

 

 

Photographies & Photos
Leonard De Vinci Da Vinci Vitruve
Vierge Enfant Madone Benoit Leonard De Vinci 1480 1482 04 DxO
Saint Anne Vierge Enfant Jesus Saint Jean Baptiste Leonard De Vinci P1012680 DxO
La Bataille Anghiari Leonard De Vinci2
La Femme A Hermine Leonardo Da Vinci   Google Art Project
La Cene Leonard De Vinci
Madone Lansdwone Vierge Enfant Leonard De Vinci 1501 1510 15
Etude Astronomique Par Leonard De Vinci
Madone Lansdwone Vierge Enfant Leonard De Vinci 1501 1510 03
Etude Cene
Leonardo Vinci
Tete De Femme La Scapiliata
Tete De Femme La Scapiliata
Etude Bataille Anghiari Systeme Enceinte 1503 1504 Leonard Vinci 0003
Astronomie Par Leonard De Vinci
Tete De Femme Leonard De Vinci
Meteorologie Par Leonard De Vinci18
Vierge Enfant Madone Benoit Leonard De Vinci 1480 1482 04 DxO 1
La Belle Ferroniere   Google Arts
Dessin Au Crayon Leonard De Vindi
Vierge A Enfant Vierge Devidoir Madone Buccleuch 17 DxO
Ange Leonard De Vinci
Etude Sainte Anne Visage Vierge 1507 1510 Leonard De Vinci 07
Etude Sainte Anne Visage Leonard De Vinci Detail
Leonardo Da Vinci  Vierge A Enfant

Antoine de Bourbon

Détails
Catégorie : XVIe
Création : 15 Octobre 2021
Mis à jour : 15 Octobre 2021
Clics : 2687

 Antoine de Bourbon, Roi de Navarre, duc de Vendôme

 

Antoine est né à La Fère dans l'ancienne région historique de Picardie, aujourd'hui dans les Hauts-de-France. Il est le deuxième fils de Charles de Bourbon, duc de Vendôme (1489-1537), et de son épouse, Françoise d’Alençon (morte en 1550). Il est le frère aîné de Louis, prince de Condé (1530-1569),chef des huguenots. En février 1557, Antoine, Jeanne et leur fils Henri se rendent à la cour Français à Paris, tandis que le roi Henri II y suggère des fiançailles entre sa fille Marguerite et Henri sion fils qui deviendra Henri IV.

Antoine de Bourbon Roi de Navarre , portrait, musée condé, <a href=Chantilly" width="603" height="804" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" title="Antoine de Bourbon Roi de Navarre , portrait, musée condé, Chantilly" />

Atelier de François Clouet. Le portrait lui est attribué par sa boucle d'oreille, son riche habit composé d'un collet et un manteau au haut col brodé d'or, rehaussé du collier de l'ordre de Saint-Michel. Chantilly&catid=72" target="_blank" title="Château de Chantilly, Musée Condé">Château de Chantilly, Musée Condé  ( photo prise après la restauration de plusieurs dizaines de tableaux au Château d'Azay-le-Rideau ). On remarquera la ressemblance frappante avec son fils Henri IV.

Le 20 octobre 1548, Antoine épouse à Moulins Jeanne d’Albret, fille d’Henri II de Navarre et de son épouse Marguerite de Navarre. Après la mort de son beau-père en mai 1555, il devient roi de Navarre, comte de Foix,de Bigorre, d’Armagnac,de Périgord,et vicomte de Béarn.

Antoine et Jeanne eurent comme enfants :

Henri (1551-1553), duc de Beaumont
Henri IV de France (1553-1610)
Louis (1555-1557), comte de Marle
Madeleine (1556)
Catherine (1559-1604), mariée à Henri II, duc de Lorraine en 1599


Avec sa maîtresse, Louise de La Béraudière de l’Isle Rouhet, ils ont eu : Charles, archevêque de Rouen de 1554 à 1610. 

Antoine ne semble pas avoir eu de réelle conviction religieuse et a officiellement changé de religion à plusieurs reprises, son fils Henri IV se convertira également à plusieurs reprises.  Il fini néanmoins par revenir au catholicisme et cet acte le sépara de sa femme dont il menaça de la répudier. 

Guerres de religion

Catherine de Médicis,gouverneur de son fils Charles IX,le nomme lieutenant général du royaume en 1561. Lorsque sa femme, Jeanne d’Albret, permit aux huguenots de mettre à sac la chapelle et les églises de Vendôme en 1562, il menaça de l’envoyer dans un couvent.  Elle se réfugie au Béarn. Antoine fut tué lors du siège de Rouen (1562) en combattant pour les catholiques. Il meurt dans le village des Andélys, à proximité du château de Château-Gaillard.

 

 sources : wikipedia, château d'Azay le Rideau

  • Bergin, r5xdeph (1996). La fabrication de l’épiscopat Français, 1589-1661. St. Edmundsbury Press Ltée
    Bryson, David (1999). La reine Jeanne et la Terre Promise. Koninklijke Brill.
    Commire, Anne (2000). Les femmes dans l’histoire du monde. 10. Yorkin Publications.
    Holt, Mack P. (2005). Les Français guerres de religion, 1562-1629. Cambridge University Press.
    Louisa, Angelo (1992). « Antoine de Bourbon ». Dans Dupuy, Trevor; Johnson, Curt; Bongard, David L. (d.). L’Encyclopédie Harper de la biographie militaire. Livres du château.
    Pitts, Vincent J. (2009). Henri IV de France : son règne et son âge. Les Presses de l’Université Johns Hopkins.
    Robin, Diana Maury; Larsen, Anne R.; Levin, Carole (2007). Encyclopédie des femmes à la Renaissance : Italie, France et Angleterre. ABC-CLIO, Inc.
    Roelker, Nancy Lyman (1968). Reine de Navarre, Jeanne d’Albret, 1528-1572. Presses de l’Université Harvard.

Voir aussi

 Château de Vendôme, Château d'Alençon, Palais de Moulins

 

 

Pierre de Ronsard

Détails
Catégorie : XVIe
Création : 24 Juillet 2020
Mis à jour : 26 Octobre 2020
Clics : 6384

 

 Pierre de Ronsard

 Il fut le poète officiel d’Henri II, François II, Charles IX et enfin Henri III. Il fut aussi le page des enfants de François Ier à partir de 1536.

 

pierre ronsard

Statue de Pierre Ronsard à Vendôme, détruite en 1942 par les allemands ( comme celle de Rochambeau ). Une autre fut remise en place en 2012.

 

Voir aussi

 

Historique & Histoire 
source : source sur place, documentation diverses,

 

 

Né en 1524, le 1er septembre, au château de la Possonnière, en Vendômois, d’une famille d’ancienne noblesse, Pierre de Ronsard passe ses onze premières années au con­tact des sources et des forêts. Son père, qui a fait les campagnes d’Italie, en a ramené le goût des arts. D’abord page à la cour où il est attaché aux enfants de France, Pierre accompagne Lazare de Baïf en Allemagne et Langey au Pié­mont.

 

manoir de la possonniere

C'est dans ce beau manoir que Pierre de Ronsard est né et a vécu une partie de son enfance. Il faut noter que le manoir n'était pas aussi confortable à sa naissance, il avait un aspect plus médiéval et défensif.

Baudouin de Ronsard ou Rossart a été le fondateur de branche de la maison, et a fait sa marque dans les premiers stades de la guerre de Cent-Ans. Le père du poète était Louis de Ronsard, et sa mère était Jeanne de Chaudrier, d’une famille à la fois noble et bien connectée. Pierre était le plus jeune fils. Louis de Ronsard était maître d’hôtel du roi à François Ier,dont la captivité après Pavie venait d’être adoucie par traité, et il dut quitter sa maison peu de temps après la naissance de Pierre.

Il fut le poète officiel d’Henri II, François II, Charles IX et enfin Henri III. Il fut aussi le page des enfants de François Ier à partir de 1536.

A 13 ans, Pierre accompagne Madeleine de France en Ecosse, elle est la fille de François Ier et devient reine d’Ecosse en épousant Jacques V. Mais elle meurt rapidement, il revient juste après.

A 18 ans, il est frappé d’une surdité presque complète ; la carrière des armes lui est donc fermée.

Il a pu voyagé aussi en Flandre, en Hollande, et encore une fois, en Écosse, en mission diplomatique sous Claude d’Humières, seigneur de Lassigny, jusqu’à ce qu’il soit attaché comme secrétaire à la suite de Lazare de Baïf, le père de son futur collègue dans la Pléiade et son compagnon à cette occasion, Antoine de Baïf, au régime de Speyer. Par la suite, il est attaché de la même manière à la suite du cardinal du Bellay-Langey, et sa querelle mythique avec François Rabelais date de cette période.

Sa carrière diplomatique apparemment prometteuse fut cependant écourtée par une attaque de surdité à la suite d’une visite en 1540, dans le cadre de la légation en Alsace, qu’aucun médecin ne pouvait guérir ; il déterminera par la suite de se consacrer à l’étude.

L’institution qu’il a choisie pour le but parmi les nombreuses écoles et collèges de Paris était le Collège Coqueret, dont le directeur était Jean Daurat - ensuite l’étoile noire (comme il a été appelé de son silence dans Français) de la Pléiade, et déjà une connaissance de Ronsard d’avoir occupé le bureau de tuteur dans la maison Baïf. Antoine de Baïf, l’élève de Daurat, accompagna Ronsard; Belleau suivit peu de temps; Joachim du Bellay, le deuxième des sept, rejoint pas beaucoup plus tard. Muretus (Marc Antoine de Muret), un grand érudit et à l’aide de ses pièces latines une grande influence dans la création de Français tragédie, était également un étudiant ici.

La période d’étude de Ronsard a occupé sept ans, et le premier manifeste du nouveau mouvement littéraire, qui devait s’appliquer à la langue vernaculaire les principes de la critique et de l’érudition appris des classiques, ne venait pas de lui, mais de Du Bellay. La Défense et l’illustration de la langue française de ce dernier sont apparues en 1549, et la Pléiade (ou Brigade, comme on l’appelait d’abord) aurait alors été lancée. Il se composait, comme son nom l’indique, de sept écrivains dont les noms sont parfois énumérés différemment, bien que le canon orthodoxe soit sans aucun doute composé de Ronsard, Du Bellay, Baïf, Rémy Belleau, Pontus de Tyard (un homme de rang et de position qui avait illustré les principes des amis plus tôt), Jodelle le dramaturge, et Daurat. Le travail de Ronsard est venu un peu plus tard, et une histoire plutôt oisive est racontée d’un truc de Du Bellay qui a finalement déterminé à publier. Quelques pièces simples et mineures, un épithalamium sur Antoine de Bourbon et Jeanne de Navarre (1550), un Hymne de la France(1549), une " Ode à laPaix« , précède la publication en 1550 des quatre premiers livres ( » première " caractéristique et remarquable) des Odes de Pierre de Ronsard.

Elle fut suivie en 1552 par la publication de ses Amours de Cassandre avec le cinquième livre d’Odes, dédié à Cassandre Salviati, 15 ans, qu’il avait rencontré à Blois et suivi du Château de Talcy de son père. Ces livres ont excité une violente querelle littéraire. Marot était mort, mais il laissa de nombreux adeptes, dont certains voyaient dans la critique littéraire plus stricte de la Pléiade, dans son mépris franc des formes purement vernaculaires et médiévales, dans ses conseils énergiques pour Français la poésie à « suivre les anciens », et ainsi de suite, une insulte à l’auteur de l’Adolescence Clémentine et à son école. [3]

Il publia ses Hymnes,dédiés à Margaret de Valois, en 1555; la conclusion des Amours, adressée à une autre héroïne, en 1556; et puis une collection d’Œuvres complète, dit être due à l’invitation de Marie Stuart, reine de François II, en 1560; avec Elégies, mascarades et bergeries en 1565. A cette même année appartient son plus important et intéressant Abrigé de l’art poétique français.

 

Pierre Ronsard portrait du XVIIIe

Le changement rapide des souverains n'a pas été un soucis pour Ronsard, ce qui en général est souvent le cas pour un artiste.

Charles IX, roi de France, qui succéda à son frère après un temps très court, était encore mieux enclin à lui qu’Henri et François. Il lui donna des chambres dans le palais; il lui accorda diverses abbaties et priorités; et il l’appelait et le considérait constamment comme son maître de poésie.

Charles IX n’était pas non plus un mauvais poète. Ce patronage royal, cependant, avait son côté désagréable. Il excité aversion violente à Ronsard de la part des huguenots, qui a écrit pasquinades constantes contre lui, s’efforçant (par une exagération ridicule du festival Dionysiaque d’Arcueil, dans lequel les amis s’étaient livrés pour célébrer le succès de la première tragédie Français, Cléopâtrede Jodelle) pour le représenter comme un libertin et un athée, et (qui semble l’avoir ennuyé plus que toute autre chose) a mis en place son suiveur Du Bartas comme son rival.

Selon certains de ses propres mots, ils n’étaient pas satisfaits de cette variété d’arguments, mais ont tenté de le faire assassiner. Au cours de cette période, Ronsard a commencé à écrire le poème épique la Franciade (1572), une œuvre qui n’a jamais été terminée et est généralement considéré comme un échec en raison de sa versification- un mètre décasyllabique de plaques de rimes qui correspond mal avec le genre de poésie épique, ainsi que la proposition du poème que Charles IX (et la Français nation) était un descendant de « Francus », un fils soi-disant jusqu’ici inconnu du prince Hector de Troie qui a été construit entièrement à partir de l’imagination de Ronsard. Le mètre (la décasylle)ne pouvait que contraster défavorablement avec les magnifiques alexandrines que Du Bartas et Agrippa d’Aubigné devaient bientôt produire; Le poème n’aurait jamais pu avoir un succès durable, mais à son apparence, il a eu la malchance singulière presque pour coïncider avec le massacre de Saint-Barthélemy, qui avait eu lieu environ une quinzaine de jours avant sa publication. Une partie dans l’état étaient certaine de regarder froidement sur le travail d’un sbire de la cour à un tel moment, l’autre avait autre chose à penser.

La mort de Charles IX ne fit guère de différence dans la faveur de la cour dont Ronsard jouissait, mais, combinée à ses infirmités croissantes, il semble l’avoir déterminé à quitter la vie judiciaire. Au cours de ses derniers jours, il vécut principalement dans une maison qu’il possédait à Vendôme, capitale de sa province natale, dans son abbaye de Croix-Val dans le même quartier, ou bien à Paris, où il était habituellement l’invité de Jean Galland, bien connu comme érudit, au Collège de Boncourt.

Il semble aussi qu’il avait sa propre maison de ville dans le Faubourg Saint-Marcel. En tout cas, ses préférences l’ont rendu dans des circonstances parfaitement faciles, et il ne semble ni n’avoir tiré ni souhaité de profit de ses livres. Une suggestion à moitié jovial que ses éditeurs devraient lui donner de l’argent pour acheter "du bois pour se chauffer" en échange de sa dernière révision de ses œuvres complètes est la seule trace de n’importe quel désir du genre. D’autre part, il a reçu non seulement des dons et des dotations de son propre souverain, mais des cadeaux de beaucoup d’autres, y compris Elizabeth I d’Angleterre. Marie, reine d’Écosse s’adressa à lui de sa prison, et Tasso le consulta sur le Jérusalem.

Malgré sa maladie ,cela n’a pas nui à la qualité de son œuvre littéraire ; il était rarement oisif, et certains de ses vers finaux est parmi ses meilleurs. Mais il s’est livré à la tentation de modifier son travail à plusieurs reprises, et beaucoup de ses modifications ultérieures ne sont pas des améliorations. Vers la fin de 1585, sa santé se détériorait, et il semble s’être déplacé sans relâche d’une de ses maisons à une autre pendant quelques mois.

Six mois avant s mort, Ronsard est malade et souffre beaucoup, il fait faire le 3 mai 1585 par Michel Charron, un nouveau carrosse plus confortable.

Mort de Ronsard

Il meurt au prieuré de Saint-Cosme en Touraine, et il fut enterré dans l’église de ce nom le vendredi 27 décembre 1585.

 

Photographies & Photos
Pierre Ronsard 1760
Pierre Ronsard

Jacques Cartier

Détails
Catégorie : XVIe
Création : 14 Avril 2020
Mis à jour : 14 Mai 2020
Clics : 4524

 Jacques Cartier

Jacques Cartier portrait

 

 

 

Voir aussi

 Manoir de Jacques Cartier

Historique & Histoire 
source : source sur place, documentation diverses,

 

 Jacques Cartier part de Saint-Malo, à côté de la Tour Solidor, le 20 avril 1534. Il atteint les côtes de Terre-Neuve, puis celles de l'Acadie.

 

Photographies & Photos
Jacques Cartier Portrait
Jacques Cartier Tombe Saint Malo
Tombe Jacques Cartier

Gabriel Ier Montgommery

Détails
Catégorie : XVIe
Création : 9 Février 2020
Mis à jour : 18 Avril 2020
Clics : 3499

 Gabriel Ier de Montgommery

 

Gabriel de Lorges, comte de Montgommery, seigneur de Ducey et de Lorges, est né au château de Ducey en 1530 et exécuté à Paris sur la place de Grève en 1574 après un procès relativement sommaire.

Il est un ancien commandant de la garde Ecossaise du roi, comme le fut son père Jacques Ier. Il fut le malheureux régicide involontaire d'Henri II. Après avoir été rapidement démis de ses fonctions, remplacé par son père, il part quelques temps en Italie et se convertit au prostestantisme à Ducey, ce qui va entraîner une rivalité de la cour royale à son encontre.

Il deviendra un farouche opposant aux troupes catholique dont Catherine de Médicis, épouse d'Henri II, gardera un fort ressentiment animosité jusqu'à la mort du comte. Cette situation conduira à la mort du Comte dont le marcéchal de Matignon avait ordre de le capturer par Charles IX.

 

 

Voir aussi

 Château de Ducey - Henri II

Historique & Histoire 
source : source sur place, documentation diverses, Germaine Ramos dans la vie merveille des grands châteaux de France (1934 ), Le comte de Montgomery by Marlet, Léon

 

1530, naissance de Gabriel au château de Ducey. 

1558, Gabriel Ier de Montgommery fait arrêté par ordre du roi un prédicateur protestant.

 

La mort d'Henri II

 

henri II gravure tournoi saint antoine paris

1559, le roi Henri II tué accidentellement par Gabriel Ier de Montgommery lors d'un tournoi à Paris. Document disponible dans les archives de la défense à Vincennes.

1559, Gabriel Ier de Montgommery devait partir normalement au pays de Caux, afin de mettre fin à l'hérésie protestant " par le fer et le feu". Mais le destin en voulu autrement, puisqu'il doit reporter son expédition car il devait participer à un tournoi en l'honneur du mariage de Elisabeth avec le roi d'Espagne et Marguerite avec le duc de Savoie.

Le roi, Guise et le duc de Nemours devaient jouter afin d'inciter "les jeunes à la vertus". Les deux premiers jours du tournois, Gabriel Ier réussi haut la main ses joutes sans incident particulier.

Le troisième jour, Henri II le convoque pour lui charger de la mission après le tournoi et lui dit " mettre au fil de l'épée tous ceux qui seraient en résistance; ceux qui seraient convaicus ou confessant, leur donner la question extraordinaire, couper la langue et brûler à petit feu, ceux qui sont soupçonnés, faire crever les yeux".

Ce même jour Henri II jouta contre Nemours et de Guise, il en fut vainqueur, mais contre Montgommery, le combat fut indécis.

 

armure Henri II*

Armure du dauphin Henri, par Negroli Francesco vers 1540, il ne s'agit pas de celle qui fut utilisée lors de la joute, mais elle est probablement similaire. 

Malgré la tradition et malgré que Gabriel Ier annonce Henri II vainqueur et " qu'il n'y avait pas moyen de faire mieux", le roi refuse de céder et veut sa revanche, au grand regret de Catherine de Médicis qui lui demande de renoncer.

Ils s'élancèrent; le choc fut violent, les chevaux furent renversés, Montgommery réussi à se cramponner à sa selle et ne tomba pas, tandis qu'Henri II se cramponna à son cheval. Henri II tomba sur Tavannes et Montgommery qui l'attrapèrent dans leur bras, mais ils constatèrent qu'un éclat de la lance sortait de la visière ouverte.

Il semble donc qu'Henri II ne fut pas touché directement au visage par la lance de Montgommery mais par un éclat de la lance de ce dernier qui entra dans la visière, manifestement elle ne fut pas fermée totalement ou mal fixée, l'armurier fut soupçonné d'avoir mal fait son travail mais d'autres estimaient qu'Henri II trop pressé d'en découdre, et de finir la joute, aurait négligé de fermer, vérifier, fermement la visière par empressement.

Gabriel Ier, aux pieds du roi, lui supplia de le mettre à mort et Henri II lui répondit " ne vous souciez pas, vous n'avez besoin de pardon, ayant obéi à votre roi et fait acte de bon chevalier et vaillant homme d'armes".

Pendant 10 jours, le roi agonise, Ambroise Paré, médecin de la cour, tente en vain de le sauver, il aurait même essayer sur des cobayes, des  prisonniers, avant de tenter de soigner le roi. 

Il ne fut pas inquiété directement par la suite, néanmoins François II le démet de ses fonctions de commandant de la Garde Ecossaise et il est reprit par Jacques Ier de Montgommery toujours vivant, afin de se faire oublier quelques temps il part pour l'Italie et revint quelques temps plus tard.

 

Prophétie de Nostradamus

 

« Le Lyon jeune le vieux surmontera ;
En champ bellique par singulier duel,
Dans cage d'or les yeux lui crèvera,
Deux classes une puis mourir mort cruelle. »

Néanmoins ce quatrain fut écrit pour l'année 1555, il aurait pu s'adapter à n'importe quel autre évènement ressemblant. Mais on peut relever que la la proximité du quartain et la mort d'Henri II, qui fut un choc retentissant dans toute l'Europe, conduit inévitablement à en faire un rapprochement.

 

 hotel montgomery pontorson

 Manoir des Montgomery à Pontorson, il fut édifié en 1526  ou  1528 (?). Il sera un des refuges de Gabriel Ier de Montgommery. C'est aujourd'hui un hôtel, une des chambres possède encore le lit baldaquin d'époque. Vendu, il est transformé en hôtel en 1850 de 32 chambres. Il conserve en partie ses parquets, boiseries et escaliers d’origines. 

Conversion au Protestantisme

 

Il se converti au Protestantisme, qu'il avait combattu sous Henri II,  et c'est à partir de ce moment là que les choses vont commencer à se dégrader.

Gabriel Ier revint en Normandie et notamment à Ducey en 1563, il avait déjà apporté quelques modifications au château. Il y resta quelques jours et rassembla 150 chevaux, dont une partie pris aux armées royales, et commença à partir en campagne. Il faillit être capturé mais réussi à se réfugié à Saint-Lo, entre-temps Ducey est pillé par les troupes royales. Les villes d'Avranches et Vire sont également prisent et pillés, Gabriel Ier pris les villes de Bayeux et Coutances. Malgré toutes les tentatives de le capturer, les troupes de Catherine de Médicis échouent.

1563, 18 septembre, il arrive à Rouen qu'il doit protéger contre les troupes catholiques. Il renforce la ville de fossés et de barricades. Les catholiques lui propose la vie sauve en échange de la reddition de la ville, il répondit " celui qui parlera de se rendre, je le ferai tailler en pièces".

Le Mont-Saint-Michel tombe, ce qui amène de nouveaux renforts catholique,  Rouen est assiégée par 10 000 hommes en armes le 29 septembre, tandis que Montgommery ne peut rassembler qu'environ 2000 hommes. Voyant qu'il ne peut lutter, il propose de rendre la ville en échange de la liberté de tous ses combattants, ceux à quoi on lui apporte une fin de non recevoir.

La lutte est fraticide, Montgommery, résiste, il apparaissait comme "l'ange de la bataille", semant la mort, terrible et invicible, "faisant cabrer son cheval dans les tempêtes de mitraille".

Une brêche est ouverte dans la muraille et les troupes royales entrent dans Rouen, Montgommery est contraint de fuir par la Seine dans une galère, et vogue la galère ! Néanmoins, son épouse qui l'avait suivie, elle ne peut fuir et fut capturée par les troupes du roi. Elle fut libérée quelques jours plus tard et rejoint le Havre, occupée par les troupes anglaises.

Montgommery défend la ville de Dieppe; tandis que Catherine de Médicis offre à un officier de Tibergeau, le collier de Saint-Michel, si il lui livre Gabriel Ier, il refusa.

La paix, temporaire, vint entre 1563 et 1567, Montgommery rentre à Ducey, mais ni Catherine de Médicis, ni Charles IX, ne veulent oublier l'affront sans oublier qu'il est toujours celui qui a tué involontairement le mari de Catherine, Henri II.

Charles IX ordonne à Matignon " d'appréhender Montgommery au corps, employant la force au besoin et de le constituer prisonnier en lieu si sûr qu'il lui en put rendre compte"

Matignon vint à Ducey mais ne trouva pas Montgommery déjà bien loin. La paix, que l'ont pourrait plutôt qualifier de trêve, de Longjumeau est signée  le 23 mars 1568, entre les chefs des armées royale et protestante. Montgommery rentre à Ducey et ne "s'occupa qu'à gouverner toutes choses tranquillment, dans l'intérêt de la religion".

La cour royale tente toujours de le faire arrêter en vain, il part pour Vire qu'il s'accage à coups de couleuvrine, comme il avait fait à Bourges. Il rejoint le Poitou, il est repoussé à la Motte et à Jarnac. Une rumeur vint aux oreilles de Catherine, qu'il fut tué, mais l'ambassadeur de Toscane répondit qu'il était on ne peut plus vivant au grand dam de cette dernière.

Montgommery devenu un chef important de la cause protestante, il entre à Castres, Orthez et dans le comté de Bigorre. Le Béarn est pris pour Jeanne d'Albret. 

Une nouvelle paix règne entre les Catholiques et Protestants à la faveur de l'Edit Saint-Germain du 8 août 1570. Montgommery revient à Ducey et en Normandie, il réussit même à revenir temporairement à la cour royale.

Après le mariage d'Henri de Navarre et Marguerite de Valois, le 18 août 1572, Coligny est blessé dans un attentat par Maurevert, petit noble le 22 août 1572.


Nuit du 23 au 24 août 1572, massacre de la Saint-Barthélemy

 

Montgommery loge dans un hôtel particulier au faubourg Saint-Germain, à l'extérieur de Paris ce qui le sauvera probablement. Il est alerté très tôt le matin, étonnamment il prend une barque sur la Seine et se dirige vers le Louvre, il manque de se faire tuer, fini par rejoindre la rive, et s'enfuit à cheval. Guise le poursuit et Gabriel Ier se réfugie à Montfort l'Amaury, le duc de Guise est contraint de rebrousser chemin.

Charles IX ordonne à Matignon de capturer Montgommery. Gabriel Ier ne revient pas à Ducey mais il se réfugie sur l'île anglaise de Jersey avec sa famille. Charles IX tente d'extrader le comte mais la reine Elisabeth lui répond une fin de non recevoir " On tue des protestants en France, dit-elle, le renvoyer ? ma conscience ne pourrait le permettre".

Montgommery réussit à réunir une flotte, très légère, avec l'aide discrète de la reine d'Angleterre. Il veut secourir la Rochelle mais ses derniers l'enjoint de repartir. Il prend Belle-Île et l'île d'Yeu, mais il apprit qu'une flotte royale cherchait à le capturer, il repart dans les Cornouailles. Manifestement il revient en Normandie quelques temps plus tard. 

 

le 27 mai 1574 il  est  assiégé au Château de Domfront puis capturé par le Maréchal de Matignon.

 

chateau de domfront

Donjon Normand du château de Domfront

Il est enfermé dans la  prison de la Conciergerie, puis condamné pour crime de lèse-majesté, puis torturé et décapité en place de Grève le 26 juin 1574, sous les yeux de Catherine de Médicis qui assistait au spectacle depuis une fenêtre de l'hôtel de ville.

Il eut le temps de saluer son ami Fervacques avant de faire ses prières à la foule. Informé sur l'échafaud qu'un édit royal confisquait ses biens et privait ses enfants de leurs titres, il dit à ses bourreaux : "Dites à mes enfants que s'ils ne peuvent reprendre ce qui a été pris, je les maudis de ma tombe" cependant cette confiscation des biens est amoindris par Henri III.

Ainsi fut la fin d'un Gabriel Ier, fort malchanceux mais dont le courage, la dextérité au combat et sa bravoure lui auront autant servis que desservis.

 

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