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- Catégorie : Haut-Rhin - 68 - Patrimoine
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Colmar est une très belle ville qui a su garder un patrimoine riche et typique de la région avec en autres la vieille ville ( centre historique de Colmar ), la « petite venise » avec balade sur des petits canots, le quartier des Tanneurs, la Collégiale Saint-Martin, la Maison Pfister et les musées de Bartholdi , Unterlinden, du Jouet et de Hansi.
Les amoureux de petites ruelles du moyen-âge et de belles maisons à colombage seront conquis, un week-end doit être suffisant pour faire le tour ( musées, rues, ballades ).
Voir aussi
Collégiale Saint Martin de ColmarInformations
- Adresse : 68000 Colmar
- Google Maps : Carte
- Téléphone :
- Email :
- Heures d'Ouvertures & Visites en 2018 ( à titre indicatif, changement d'horaire possible, toujours se référer au site officiel avant tout déplacement ) :
Il est relativement facile de se garer à Colmar, sauf centre historique. Le mieux est de se garer soit sur les parking ( attention le parking souterrain de la mairie coûte cher et ferme à 21h ! et ça coûte encore plus cher si vous devez la récupérer le lendemain ) soit sur des places facilement disponibles ( hors week-end ) sur des rues avoisinnantes. Parking gratuit ( en 2018 ) : Parking Lacarre : 5 Place Lacarre 68000 Colmar.
Colmar a été fondée au IXe siècle et est mentionné comme Columbarium Fiscum par le moine Notker le Bègue dans un texte du 823. Ce fut l'endroit où l’Empereur Charles le Gros a tenu une alimentation en 884.
1226, Colmar a obtenu le statut d'une ville ( Civitatis ) libre impériale par l’empereur Frédéric II.
1278, Charte de franchise octroyée à la ville par Rodolphe de Habsbourg.
1354, Colmar rejoint la Décapole, fédérations de 10 villes impériales d’Alsace.
1548, r5xdel de Rosheim a exhorté le tribunal du Reichskammergericht à abroger l’interdiction du marché de Colmar sur les marchands juifs.
1575, la ville a adopté la Réforme Protestante, bien longtemps après les voisins du nord de Strasbourg et de Sélestat.
Guerre de Trente Ans, la ville est prise par l’armée suédoise en 1632, qui l'a tenu pendant deux années.
1634, la famille Schoeman arriva et commença la première bibliothèque municipale.
1635, la récolte de la ville fut gâchée par les forces impérialistes tandis que les habitants tiraient sur eux depuis les murs. Traité de Reuil qui place la ville de Colmar sous la protection du roi de France.
La ville a été conquise par la France sous le roi Louis XIV en 1673 et officiellement cédée par les traités de 1679 de Nimègue.
1698, Installation du Conseil Souverain d’Alsace à Colmar, qui devient la capitale judiciaire de toute la province.
1753, Voltaire séjourne pendant treize mois à Colmar.
1773, Création de l’Académie militaire de Colmar par le poète et pédagogue Pfeffel.
1790, Colmar devient Chef-lieu du département du Haut-Rhin puisque Mulhouse était encore une ville indépendante jusqu’en 1798.
1863, Le trésor de Colmar, un trésor d'objets précieux cachés par les Juifs pendant la peste noire, dont les juifs furent accusés d’avoir provoqué, a été découvert en 1863. Le trésor de Colmar est un ensemble d’environ 50 pièces d’orfèvrerie (surtout des bijoux) et 300 monnaies, datant du XIIIe et de la première moitié du XIVe siècle. En 1923 le musée de Cluny ( à Paris ) en conserve la majeure partie puisque les objets ont été rachetés.
Avec le reste de l'Alsace, Colmar a été annexé par l’Empire allemand nouvellement formé en 1871 à la suite de la guerre franco-prussienne et incorporé dans la province Alsace-Lorraine par le traité de Francfort.
1918, le 18 novembre les troupes françaises entrent dans la ville. Néanmoins l’Alsace revient à la France après la Première Guerre mondiale par le Traité de Versailles de 1919.
1940, l’Alsace est annexée d’office par l’Allemagne Nazi, puis retourné au contrôle français après la bataille de la « poche de Colmar » le 2 février 1945.
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La Tour du Diable et la Tour de Nessel dans la ville de Mulhouse sont probablement des vestiges du château épiscopal brûlé par les bourgeois en 1262, elles sont été ensuite intégrées dans l'enceinte de la ville.
Voir aussi. la Tour Bollwerk à Mulhouse - Hôtel de Ville - Châteaux d'Alsace
La Tour du Diable
Elle été bâtie probablement dans la deuxième moitié du XIVe siècle, cependant on ne retrouve sa trace qu'en 1435, la fenêtre et son encadrement semble correspondre en tout cas à cette époque. Son nom était alors « Wisse Turm » qui provient d'un habitant voisin de la tour Hans Wyss.Par la suite elle change de nom Veltin Bernhards Turm, un autre habitant de la cité puis tour Saint-Bernard qui se disait alors Sankt Bernhardsturm et tour Saint-Valentin ou Sankt Veltin Turm.
Le terme de Tour du Diable, Teufelsturm, est apparu probablement lors de la période du XVe et XVIe siècle où la chasse aux sorcières fut particulièrement rude en Alsace, exemple avec le village fortifié de Bergheim qui consacre une exposition à ce sujet.
Les sorcières y étaient enfermées, puis torturées et probablement exécutées sur place. La tour a également été utilisée comme Prison, les nombreux graffitis d'une des portes intérieures de la tour au musée historique de Mulhouse dans l'ancien Hôtel de Ville en est un témoin.
L'usage de la tour fut également une tour de guet, cependant l'ensemble des tours porte devaient avoir ce type d'utilisation, le chemin de ronde couvert qui pouvait monter jusqu'à 4-5 mètres de hauteur arrivait au premier étage de la tour. Elle faillit être détruite totalement en 1904 le 3 juin, elle a été restaurée en 1906.
Tour de Nessel
La tour de Nessel, aujourd'hui un lieu d'habitation et juste à côté une école , marque aussi l'arrêt du tranway de Mulhouse. La tour est en réalité une tour porte qui donnait accès à la ville. Construite probablement au cours du XIVe siècle, elle fut transformée en simple tour vers le mileu du XVe probablement pour des raisons de sécurité. Si la ville possédait selon les périodes 4 ou 5 portes, en réalité seules deux donnaient accès à la ville en temps de guerre ou d'insécurité. Elle a servi de prison et fut abandonnée après 1798 puis vendue en 1803 à un bourgeois de Mulhouse.Les portes de Mulhouse ont toutes été détruites au cours du XIXe siècle dans le but d'agrandir la ville alors en plein essor industriel :
1811 : porte de Bâle
1810 : porte Jeune , en lien avec les nobles de Junge ( Jungertor = porte jeune )
1810 : porte du Miroir ( Spiegeltor )
1810 : porte Haute ( Obertor ) détruite.
Informations
- Adresse : Tour de Nessel : arrêt du Tramway Tour de Nessel - Tour du Diable : rue de la Tour du Diable, 68100 Mulhouse
- Google Maps : Carte
- Téléphone : Office de Tourisme : 03 89 35 48 48
- Email :
- Site officiel : http://www.tourisme-mulhouse.com/ - http://www.mulhouse.fr/
- Heures d'ouvertures & Visites de l'Hôtel de Villle et Musée Historique : toujours visible mais ne se visite pas de l'intérieur.
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L'Hôtel de Ville de Mulhouse est un édifice de style Renaissance Rhénane du XVe siècle mais modifié ultérieurement au XVIIe et XVIIIe. Symbole de puissance des bourgeois de la ville de Mulhouse, alors très longtemps indépendante, elle est aujourd'hui l'un des joyaux de la ville dont 17 bâtiments sont inscrits ou classés au titre des monument historiques, notamment une partie sur la Place de la Réunion.
Actuellement la salle du conseil est toujours utilisée pour des mariages où des réunions, mais le bâtiment est aujourd'hui un musée ( gratuit ) sur l'histoire de Mulhouse.
Voir aussi. la Tour Bollwerk à Mulhouse - Tour du Diable et Tour de Nessel
Informations
- Adresse : Hôtel de Ville, Place de la Réunion 68100 Mulhouse
- Google Maps : Carte
- Téléphone : Office de Tourisme : 03 89 35 48 48
- Email :
- Site officiel : http://www.tourisme-mulhouse.com/ - http://www.mulhouse.fr/
- Heures d'ouvertures & Visites de l'Hôtel de Villle et Musée Historique : Ouvert tous les jours sauf le mardi de 13h à 18h30 (jusqu'à 19h pendant le Marché de Noël)
Fermé les mardis et jours fériés
Mulhouse en 1642, le numéro 9 représente l'hôtel de ville.
Ville libre sous l'empire germanique en 1354 en créant une Décapole, avec environ 10 villes de la région, Mulhouse a le privilège notamment de s'administrer avec un conseil d'élu nommé par les bourgeois de la ville. Cette situation n'est cependant pas pendant l'époque unique dans l'empire germanique et particulièrement dans une Alsace fortement morcelée, mais dans le cadre d'une décapole et de cette ampleur probablement pas.
1515, la ville forme une alliance avec des cantons helvétiques, liens indirecte qui perdurent encore aujourd'hui sous la forme du carnaval de Mulhouse et de l'aéroport Bâle-Mulhouse.
Le premier Hôtel de ville, appelé à l'époque Rothüss, fut construit en 1432 mais détruit en 1551, il est reconstruit entre 1552 et 1553 dans le style de la Renaissance rhénane, sur le même emplacement. Le tailleur de pierre Michel Lunthumer en est l'architecte principal et la première peinture murale a été faite Christophe Bock avec une couleur rouge et or qui impressionna alors beaucoup Montaigne qui en 1580 décrira le bâtiment comme un « palais magnifique et tout d'or » dans son livre « voyage à travers l'Europe » plus principalement dans la partie concernant l'Alsace et la Suisse qu'il visite entre 1580 et 1581.
1637, la galerie arrière est construite
1698, Jean Grabriel repeint les décors en trompe-l’œil sur des gravures allégoriques d'Henric Golrzius.
1778-1779, un nouvel étage est édifié sur le bâtiment entraînant des modifications des décors par Théodore-André Genderich.
1798, le 15 mars la Ville de Mulhouse subissant un blocus économique depuis plusieurs années décide de se rallier à la France, c'est dans l'hôtel de ville qu'est célébré la cérémonie.
1846, Lachaise et Holfed font une première grande restauration puis en 1903, alors que Mulhouse est sous domination allemande depuis 1870, c'est un peintre allemand Ferdinand Wagner qui retouche le bâtiment.
1988, une nouvelle restauration des couleurs sont réalisées avec comme objectif de revenir vers les couleurs originelles.
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Village préféré des Français en 2022
Aujourd'hui la ville a obtenu quatre fleurs des villes fleuries et possède un riche patrimoine médiéval avec des fortifications du XIVe et XVe dont une très belle Porte-Haute et plusieurs tours sur le Chemin des Remparts, mais remaniées en partie quelques siècles plus tard. Son église a été probablement construite entre 1320 et 1347, caractérisée par un chœur voûté avec abside à cinq pans flanqués au nord d'une sacristie voûtée d'une croisée d'ogives, vaisseau à trois nefs, clocher en hors-œuvre avec un porche également sous croisée d'ogives.
Le village fortifié de Bergheim est une charmante localité située dans la région d'Alsace, en France. Son histoire riche et son patrimoine exceptionnel en font une destination touristique prisée. Voici un résumé historique et touristique de Bergheim en 500 mots.
Bergheim tire son nom des termes allemands "Berg" (montagne) et "Heim" (foyer), ce qui se réfère à son emplacement sur une colline entourée de vignobles pittoresques. Son histoire remonte à l'époque romaine, mais c'est au XIIIe siècle que le village se développa en tant que place forte fortifiée. Les remparts furent construits pour protéger Bergheim des invasions et des pillages, et de nombreux vestiges de cette époque sont encore visibles aujourd'hui.
Au fil des siècles, Bergheim a connu des périodes de prospérité, notamment grâce au commerce du vin et de l'artisanat local. Le village était un centre économique important de la région, attirant des marchands et des artisans de toute l'Europe. De nombreux bâtiments médiévaux bien préservés témoignent de cette époque faste, tels que la mairie, la tour des sorcières, la porte haute et la porte basse.
L'un des moments les plus marquants de l'histoire de Bergheim fut la guerre de Trente Ans (1618-1648). Le village fut le théâtre de nombreux affrontements et subit d'importants dommages. Après la guerre, Bergheim se releva progressivement de ses ruines et retrouva sa prospérité grâce à l'agriculture et à la viticulture.
Aujourd'hui, Bergheim est un véritable joyau médiéval, attirant les visiteurs avec son charme pittoresque et son atmosphère authentique. Le village est entouré de remparts imposants, qui s'étendent sur près de deux kilomètres et offrent une vue imprenable sur les vignobles environnants. Les visiteurs peuvent se promener le long des remparts, admirer les tours de guet et les anciennes portes fortifiées, et imaginer la vie médiévale qui y régnait autrefois.
Le centre historique de Bergheim est un véritable délice pour les amateurs d'architecture. Les ruelles étroites sont bordées de maisons à colombages colorées, de fontaines anciennes et de jolies cours intérieures. La place principale, avec sa fontaine du XVIe siècle, est un lieu de rencontre populaire pour les habitants et les visiteurs. Il est également recommandé de visiter l'église Saint-Nicolas, datant du XIIIe siècle, qui abrite de magnifiques vitraux et des sculptures gothiques.
Les amateurs de vin trouveront leur bonheur à Bergheim, car le village est entouré de vignobles réputés. De nombreuses caves vinicoles proposent des dégustations et des visites guidées, permettant aux visiteurs de découvrir les vins d'Alsace, célèbres pour leur qualité et leur diversité. En particulier, le Riesling et le Gewurztraminer sont des cépages emblématiques de la région.
Informations
- Adresse : Point Information - 1 place du Dr Walter 68750 BERGHEIM
- Google Maps : Carte
- Téléphone : Point Information : 03.89.73.31.98 Mairie : 03.89.73.63.01
- Email :
- Site officiel : Office Tourisme Point I : horaires - http://www.ville-bergheim.fr - Église de Bergheim
- Heures d'ouvertures & Visites : Ville ouverte normalement.
Le musée de la Maison de la Sorcière : Maison des Sorcières 5 rue de l'Eglise 68750 Bergheim, Tél : 03.89.73.18.64
À partir de la 2ème quinzaine de juin et jusqu'au 31 août, ouverture du mercredi au dimanche de 14h00 à 18h00, Le jeudi, visite guidée de 16h à 18h . En septembre et en octobre : Uniquement les dimanches de 14h à 18h
Historique
Elle fut pendant plusieurs siècles une seigneurie quasi indépendante avec les villages de Rorschveyer et Rodern.
Le premier écrit connu du village est du VIIe siècle , dont le premier seigneur connu fut un certain Hagio qui donna la plus grande partie de Bergheim à l’église de Moyenmoutier dans les Vosges en Lorraine.
Puis Conrad père de Hermann, duc d'Alsace, se le fit adjuger subrepticement par l'empereur germanique Otton Ier. L'abbaye de Moyenmouter réussit à la reprendre en 964, mais le duc de Hermann, fils de Conrad, reprit le village en 977.
Sous l'empereur Henri II, les religieux de Moyenmoutier réussissent une nouvelle fois à reprendre Bergheim, mais rapidement l'évêque de Toul les dépossède de leur Bien.
Après diverses plaintes de l'église, le pape Innocent II ordonne la restitution du village à Moyenoutier.
L'évêque de Toul en 1225 donne le village au duc de Lorraine qui fit de même, la cathédrale de Toul est alors en construction depuis 4 ans.
En tout état de cause le village tombe aux mains de la famille des Ribeaupierre puis plus tardivement dans celles des empereurs germaniques.
1300, est planté un Tilleul qui est toujours présent en 2013 et qui continue de fleurir.
Henri de Rappolstein qui eut les terres de Burcard de Geroldseck fait construire une fortification en 1312, mais en 1313 Henri et Jean de Rappolstein vendent la ville aux princes d'Autriche....qui dès 1314 la revende à Henri de Mülnheim, elle passe également en 1314 à l'évêque de Strasbourg pour 3000 marcs.
1372, les nobles de Hattstatt en obtiennent la propriété, mais en 1375 les habitants du village de Bergheim rachètent la ville.
1361, elle a le droit d'asile qui permet à quiconque ou presque de profiter de ce droit. Entre 1534 et 1852 était affiché un bas-relief , devant l'entrée ouest de la ville, représentant Lack'Mi un personnage présentant son arrière-train à ses poursuivants. Entre 1530 et 1667, la ville a accueilli 744 réfugiés ayant commis des crimes non prémédité ou excusable.
1374, le duc de Lorraine Jean 1er assiège Bergheim, mais il ne réussit cependant pas à prendre la ville.
1375, la ville obtient du duc Léopold d'Autriche le droit de battre monnaie, privilège presque courant en Alsace, mais dont la ville ne semble pas avoir fait usage.
1446, le duc Albert fait mettre un péage dans le but d'entretenir le fossé Landgraben entre la Basse-Alsace et la Haute-Alsace, qui allait des Vosges à l'Ill et de l'Ill au Rhin.
Jusqu'en 1448 la ville appartient aux habitants et donc quasi indépendante, mais Albert le Prodigue, frère de l'empereur Fréderic III engage la ville au marquis de Baden pour 4000 florins du Rhin.
1525, 8 mai, la guerre des Paysans en Alsace amène les rustauds d'Ebermunster et de Barr devant les portes de Bergheim, mais la ville refuse de les faires entrer. En représailles la ville est occupée le 12 mai par 5000 paysans qui saccagent la ville.
Entre le XVe et XVIe, une véritable chasse aux sorcières est organisée, plusieurs dizaines de femmes sont brûlées vivantes, phénomène que l'on retrouve un peu partout au royaume de France et en Alsace. Une exposition sur ce sujet est réalisée dans la ville.
L'empereur Maximilien Ier rachète le village, avec l'aide des habitants qui apportèrent 3000 florins. Puis viennent les invasions Suédoises, Gustave Horn assiège Sélestat en 1632 et occupe Bergheim.
Louis XIII donne la seigneurie en 1639 au comte de Nassau, officier suédois, mais il décède un an plus tard, la ville fut donc donnée au duc de Montlausier qui la vendit en 1679 à Christian II comte Paladin, qui lui-même la revendit en 1686 au baron de Reding de Biberach, puis elle fut transféré à Jean-Fréderic Vürtz, puis Daniel Reichhofer et Jean-Jacques Hahn....qui tombe entre les mains du baron de Roll d'Emmenholtz.
1674-1675, la guerre de Hollande fait rage et les troupes Luxembourgeoises tentent de prendre la ville en créant un blocus au cours de l'hiver, ils ne réussirent cependant pas leur entreprise et repartirent.
1716, la ville est rachetée par les seigneurs de Ribeaupierre jusqu'à la Révolution Française.
